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dc.contributor.authorBalint, Adina
dc.date.accessioned2021-02-08T18:29:39Z
dc.date.available2021-02-08T18:29:39Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.citationBalint, Adina. “Les écritures migrantes au Québec: l’entre-deux selon Régine Robin.” Letras de Hoje 50(4) (October-December 2015): 408-415. DOI: https://doi.org/10.15448/1984-7726.2015.4.22630.
dc.identifier.issn0101-3335
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10680/1896
dc.description.abstractDans la mouvance d’une esthétique postmoderne, les littératures contemporaines du Canada, trop longtemps sourdes aux minorités qui les peuplent, s’ouvrent dans les années 1980 à la prise de parole d’écrivains nés ailleurs, qui choisissent le français ou l’anglais comme langue d’écriture. Au Québec, on parle d’“écritures migrantes”, dont la diversité et la richesse sont notables. Ainsi, nous analysons le cas de Régine Robin, écrivaine qui n’est pas née au Québec, et qui réfléchit à l’entre-deux cultures et à l’identité plurielle, qui sont le lot des nouveaux arrivants dans les Amériques. La Québécoite (1983) présage en quelque sorte bien des idées sur le multiculturalisme et le transculturalisme.en_US
dc.description.urihttps://revistaseletronicas.pucrs.br/ojs/index.php/fale/article/view/22630
dc.language.isofren_US
dc.publisherediPUCRS & Pontificia Universidade Catolica do Rio Grande do Sul, Centro de Estudos de Lingua Portuguesaen_US
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccessen_US
dc.subjectEntre-deuxen_US
dc.subjectÉcritures migrantesen_US
dc.subjectQuébecen_US
dc.subjectAmériquesen_US
dc.titleLes écritures migrantes au Québec: l’entre-deux selon Régine Robinen_US
dc.typeArticleen_US
dc.rights.licenseCC BY-NC-NDen_US
dc.identifier.doihttps://doi.org/10.18192/analyses.v5i3.595en_US


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