Les écritures migrantes au Québec: l’entre-deux selon Régine Robin
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Balint, Adina
Date
2015Citation
Balint, Adina. “Les écritures migrantes au Québec: l’entre-deux selon Régine Robin.” Letras de Hoje 50(4) (October-December 2015): 408-415.
DOI: https://doi.org/10.15448/1984-7726.2015.4.22630.
Abstract
Dans la mouvance d’une esthétique postmoderne, les littératures contemporaines du Canada, trop longtemps sourdes aux minorités qui les peuplent, s’ouvrent dans les années 1980 à la prise de parole d’écrivains nés ailleurs, qui choisissent le français ou l’anglais comme langue d’écriture. Au Québec, on parle d’“écritures migrantes”, dont la diversité et la richesse sont notables. Ainsi, nous analysons le cas de Régine Robin, écrivaine qui n’est pas née au Québec, et qui réfléchit à l’entre-deux cultures et à l’identité plurielle, qui sont le lot des nouveaux arrivants dans les Amériques. La Québécoite (1983) présage en quelque sorte bien des idées sur le multiculturalisme et le transculturalisme.